La réhabilitation de la route Mbuji-Mayi – Munkamba évolue bien (Office des routes)

Deux heures suffisent actuellement pour atteindre la localité de Munkamba, à 93 km de Mbuji-Mayi (Kasaï-Oriental) sur la route nationale numéro 1, au lieu d’une journée entière auparavant, a affirmé lundi 5 octobre, le directeur général de l’Office des routes, Mutima Sakrini, en séjour à Mbuji-Mayi, depuis le Week end dernier.  

Herman Mutima Sakrini est allé évaluer l’état d’avancement des travaux de réhabilitation des routes d’intérêt national qui passent par la province du Kasaï-Oriental. 

 Le DG de l’Office des routes s’est rendu à Munkamba, accompagné du directeur provincial qui lui a fourni plusieurs explications sur l’état d’avancement des travaux de cette route nationale. Il s’est également rendu compte de l’état de délabrement avancé de la route Kabeya Kamwanga- Mupompa, « qui sera bientôt réhabilité. » 

Après cette première étape,  Herman Mutima Sakrini, s’est dit satisfait des travaux réalisés par l’entreprise Grec 7, en collaboration avec l’office des routes :

«  Je dois dire que avant on faisait une journée pour rejoindre Lac Munkamba, à partir de Mbuji-Mayi. Mais nous l’avons fait en deux heures et demie en nous arrêtant, parce qu’on était en train d’inspecter. Si nous l’avons fait en direct, on serait arrivé ici après deux heures de route. Je voudrais féliciter toutes les équipes qui ont travaillé sur cet axe routier. Je vais citer Grec 7, qui avec ses équipes ont fait l’ouverture qui a été bien faite. Il y a aussi notre brigade
maintenant qui consolide. Ce qui a été bien fait. Donc je dois dire
que le travail a été bien fait. Et nous allons maintenant consolider comme la pluie va venir bientôt. » 

Herman Mutima Sakrini promet de saisir sa hiérarchie pour le décaissement les fonds nécessaires pour consolider les travaux qui sont faits : 

« Comme nous allons rentrer à Kinshasa, nous allons faire rapport à la hiérarchie. Nous avons besoin vraiment de consolider ce qui a été fait par Grec7. Sinon, si nous perdons cela, c’est une perte pour la République. Donc, on doit consolider. Nous devons demander les fonds qu’il faut au niveau de l’Etat sinon si nous perdons ça, et le Fonds national d’entretien routier sera saisi. Et les moyens étant mobilisés, les équipes vont travailler pour arriver à cette phase de consolidation. Nous avons trouvé qu’il y a des carrières, c’est un grand avantage pour faciliter ce travail. »

David Kabeya

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